1588… de sel et de braise – Comédie musicale historique « Restauration sur place »
Drame et passion au cœur de l’île Chauvet
Comédie musicale dramatique composée par Jacques RAVELEAU-DUPARC
Production : Art Musical et Terres de l’île Chauvet
Scénario et texte : Colette MAUVOISIN
Orchestration : Frédéric DUNIS
Costumes : Gisèle FRÉCON
Interprètes : Claudia MAURO (Sœur Antoinette) – Jacques LEMAIRE (Frère Guibourg)- Fabrice TODARO (Martin) – Kevin LEVY (Guillaume) – Francis DUDZIAK (Père Girard) – Jacques DUPARC (Jehan d’Ardillon) – Julie LEMAS (Margot) – Michel GRISONI (Rivaudeau) – Paul Quaireau (Frère Arthus) – Matthias RAVELEAU (le collecteur d’impôts)
Avec la participation :
– du Bouquet d’Ajoncs de Bois-de-Céné
– de choristes de l’ensemble vocal Alternance de Challans
– des élèves du cours du Petit Théâtre de la Garnache d’Élisa Roblin
– les fidèles figurants vendéens
À PROPOS
Nous sommes au XVIe siècle. La France est déchirée par les guerres de religion, décimée par la peste. Le Poitou plus profondément atteint se débat entre Huguenots et Catholiques en se livrant une bataille impitoyable. Le peuple à la merci de l’un ou l’autre vainqueur, travaille… souffre… aime. Sur l’Ile Chauvet dans ces marais asséchés par les moines, sur ces terres où l’on récolte la fleur de sel, près de l’ile de Noirmoutier, au fond de la Baie de Bourgneuf, l’abbaye, havre de paix sacré d’où s’élèvent les psaumes bibliques, va essayer de résister à la tourmente qui plane sur ses terres et s’enflammer au feu de la haine…
SYNOPSIS
Dans ce contexte dramatique se noue une romance de braise sur cette terre de sel : Margot et Martin se découvrent l’un pour l’autre une passion comme Juliette et Roméo dans la pièce de Shakespeare. Leur cœur se dévoile mais le Père de Margot, Jehan d’Ardillon, saunier de métier, ne l’entend pas ainsi : il la destine à la vie religieuse. Margot et Martin vont défier la volonté inflexible de ce père. Cela les conduira tous deux vers une mort certaine. « Il en était de leurs deux cœurs, tout ainsi que du chèvrefeuille qui au coudrier se prenait. Quand est ainsi lacé et pris, et tout autour du bois s’est mis, ensemble peuvent bien durer ! Ainsi l’on veut les séparer, le coudrier meurt promptement, le chèvrefeuille également ! Belle amie ainsi est de nous : ni vous sans moi, ni moi sans vous ! »